N'est plus, hélas, le temps de l'hiver, regret alors,
Et ses nuits de monde belles d'extinction,
Las! Et enfin: bruit des hommes à éphémère trépas...
Ils ne sont plus là, à leur viles nuit bannis;
Qu'ils vibrent fétides, ceux-là, d'agitation imbécile
Enfin: rideau se lève sur l'obscur moment d'une paix ...
Fiat tenebrae en hymne serein, l'âme de chanter,
Soulages et Schumann d'une lumière de paix...
Et trouvent leur sens, notes et mots en beauté...
Vient l'oiseau puis fleur-enfant, nature en vitrail-synesthésie,
De haute merveille, le bruissement...
Mais les hommes
Mésange-colorature, moineaux en choeur humble...
Mais les hommes...
Petit chaos semés ci et là; et ce crachat en pluie,
Vienne l'ébène, l'abeille si belle si on l'entend...
N'est plus ici, banni en vétille; en vile quête, l'idiot...
Alors l'ouïe, alors l'oeil, et prodigues parfums; loin des pairs impairs
Mais les hommes, Faust en litanie...
Mais les hommes, en carcan abhorré...
Mais, les hommes, Alberich-égérie
Vienne la nuit sonne l'heure
Peine bien plus que...
Nuit malthusienne, beau cénacle enfin,
Sont là: oiseaux de nuit, nocturne-psalmodie...
Le livre en lumière, claire caverne
Puis l'oeil tombe, se clôt l'ouïe en songe
Mais les hommes...
Mais les hommes hélas...
Plaie en bis repetita...
Les oiseaux, parfums d'herbe...
Mais les hommes...
Ne savent la Musique...
Mais les hommes...